Dimanche Gillou, Jean Phi, Roro et moi dans le panier,
nous profitons de quelques éclaircies pour aller faire un tour du côté de
Santona.
Lundi, c’est la promenade de casimir mené par le GPS de
Jean Phi. On ne nous avait pas menti, le ciel est infiniment bleu. Super virée
sur l’asphalte de routes sinueuses et bordées de mille images.
Nous allons
ainsi jusque dans un village perdu dans les montagnes. Mais attention, c’est le
village de chez village. Tout en pierres bois et tuiles Joliment restauré sans
trop de tape à l’œil.
Un petit resto sympa, une bonne cuisine.
Une petite pause
sieste et il nous faut déjà repartir. Un merci à Casimir pour nous avoir
conduits en ces lieux magnifiques.
Petit entracte " épidabor-y'apakemoi"
Mardi le temps est maussade et Amora, Jean phi, Marie,
Casimir nous quittent.
Sous un ciel gris et pluvieux, Roro, Gilou et moi nous
restons et savons déjà que nous ne prolongerons pas au-delà de demain l’édition
2014 de Larédo.
En attendant nous allons acheter quelques vivres pour un
barbecue que nous consommons entre deux gouttes de pluie.
Mercredi, nous plions les tentes humides ; Roro et
Gilou remontent au nord et moi je me dirige vers St Girons et un peu plus tard
Tarbes.
Tiens justement en parlant de Tarbes ? Sous une
pluie battante, je n’avais pas fait 10 bornes de St Girons que mon compte tour
s’est mis à zéro et qu’un peu plus loin ma Calif s’est éteinte gentiment au
milieu du village de Prat Bonrepaux. Décidément, j’ai tiré le mauvais billet de
loterie cette année et pour en ajouter un petit peu, m’abritant sous l’arrêt de
bus je me suis aperçu que la batterie de mon téléphone était à plat. En causant
plus clair, on n’appelle cela « la totale ».
Il y a surement quelque part un ange pour les Guzzistes
car sur le trottoir d’en face s’ouvrent les rideaux d’une boulangerie. Agréable
dame qui me permet de brancher mon téléphone pour le recharger, puis me prête
le siens afin d’appeler l’assistance. Faut-il ajouter que pour ne pas que ma
Calif soit emportée à Foix chez un concessionnaire de motos Italiennes à 50
bornes de là, elle me donne l’adresse d’un réparateur moto à pas plus de 8
kilomètres. Elle m’assure des compétences vantant que les mécanos réparent
tout, scooter, mobylettes et motos. Je téléphone, j’annonce d’une petite voix
que ma machine est une Moto Guzzi et la dame de me répondre qu’il n’y a pas de
soucis que je peux venir. STAND MOTOS,
Zone industrielle, 09190 Lorp Sentaraille. 05 61 66 23 27.
Le mécano n’a pas cherché longtemps l’origine de la panne,
premier diagnostique, la batterie à plat, comme sur le téléphone… Deuxième
diagnostique après avoir redémarrer la machine, pas de charge. Le gars démonte
le cache entre le réservoir et la colonne de direction, sort quelques fils, déboite
une grosse prise (jonction alternateur, régulateur et batterie) et constate que
la prise est cramé. Il en remonte une autre et après avoir laissé tourner pour
recharger, me voila 50 minutes plus tard reparti pour Tarbes. Depuis je roule
et pas de problème. Ha oui, j’oubliais, totale de la facture, 13 Euros 45. Je
ne suis pas certain qu’en région parisienne j’en n’aurais pas eut pour un
chiffre à deux zéro.
Voilà, c’était mon édition Larédo 2014.
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